Aborder les traductions juridiques est une tâche difficile. Tous les traducteurs le savent bien.
Comment ne pas mentionner, par exemple, la récente traduction pour la Région Émilie-Romagne du document concernant l’économie et la finance locales. Un texte long et complexe qui a demandé 4 semaines de travail.
En bref, la traduction spécialisée peut sérieusement mettre à l’épreuve n’importe quel traducteur.
Lisez: comment choisir une agence de traduction
Il existe des outils très utiles que le traducteur connaît et dont il peut se servir pour effectuer une traduction spécialisée de manière précise et appropriée :
Les traducteurs créent généralement des glossaires spécialisés, qu’ils consultent pour leurs travaux de traduction.
L’utilisation d’outils de traduction assistée aide le traducteur à créer son propre glossaire ou base terminologique.
Pour ce faire, généralement il recherche sur Internet des textes parallèles lui permettant de vérifier que le terme contenu dans son glossaire est effectivement utilisé dans ce contexte dans le domaine technique en question.
La recherche de textes parallèles sur Internet permet au traducteur de créer un glossaire contenant la terminologie sectorielle.
Pour les traductions techniques, par exemple, le traducteur peut consulter les sites Web des entreprises du secteur et extrapoler la traduction des termes techniques dont il a besoin. Ou bien, il peut consulter des manuels techniques traduits en plusieurs langues, souvent disponibles en ligne aussi.
Les traductions parallèles sont d’une grande aide pour acquérir la terminologie d’un secteur.
Les experts sectoriels sont une source inestimable de consultation pour le traducteur.
Les experts connaissent souvent la terminologie du secteur dans plusieurs langues. Leurs indications sont donc les plus précises et les plus précieuses.
Ce qui est peut-être le plus souvent associé à l’image du traducteur est le dictionnaire. Mais en réalité, bien qu’utile, le dictionnaire ne peut et ne doit pas être considéré comme la « Bible » du traducteur.
Le point fondamental pour traduire des textes juridiques, en effet, est de se familiariser à la fois avec le langage juridique et avec les mécanismes du droit.
Le traducteur de documents juridiques doit être capable d’analyser les textes et les relations juridiques dans chaque cas et doit connaître et apprendre à consulter et à utiliser les sources du droit (législation, jurisprudence et doctrine).
Il s’agit d’abord de comprendre le texte et sa fonction, puis de choisir et d’utiliser la bonne terminologie.
De plus, pour traduire des documents juridiques, il est nécessaire de connaître le fonctionnement de la justice dans le pays en question. Le dictionnaire ne représente donc qu’un outil de départ
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